Et la lumière fut...
Quand on me l'a montrée, j'ai trouvé ça formidable tout de suite et en ai fait l'acquisition sans rechigner vu que l'idée allait me simplifier drôlement la vie à moi, l'amateur(e??? avec toutes ces réformes du français...) d'éclairages indirects multiples qui devait jusque là me contortionner au sol dans des positions proches du surnaturel pour accéder aux fiches et interrupteurs : la télécommande à prises.
Le hic c'est que, alors que je mangeais ou que j'étais tranquillement affalée sur le sofa, ou à vaquer loin de ladite télécommande dès fois, paf, ça s'éteignait tout seul (et dans le noir, c'est vachement dur de la retrouver, c'te télécommande, vu que c'est pareil que pour celle de la TV ou du lecteur DVD : on sait jamais où on l'a déposée la dernière fois).
J'ai d'abord et comme pour tout le reste naturellement accusé les chats. Z'ont dû marcher dessus, se coucher dessus, forcément. Puis j'ai constaté qu'ils étaient parfois aussi éloignés que moi de l'objet du délit au moment de l'extinction.
Bizarre.
Je ne me suis jamais rendu compte que juste avant ou juste après, y'avait souvent un bruit de moteur. Nan. C'est plutôt avec l'hiver arrivant et la nuit débarquant à 17h30 que j'ai pigé. A cause des clignoteurs. Ma télécommande à prises, elle réagit aux fréquences des transpondeurs de certaines voitures. Donc les gens qui garent leur auto devant chez moi éteignent dans la maison à chaque ouverture ou fermeture de leur engin roulant.
Par contre, rallumer, ça, jamais... Et heureusement ! Parce que si quelqu'un rallumait juste après mon départ à l'Usine, chaque jour, ça finirait par me coûter cher, c'te blague !!!